Le travail de Dan Aucante est dominé par la rigueur et l’exigence de sa démarche, faisant de sa recherche personnelle une remise en question permanente. Ainsi, en 2002 il revient au noir et blanc argentique en abordant le moyen format. Dans une série intitulée Limites il pose son regard sur l’empreinte éphémère et vaine de l’homme face à l’éternité le long de la côte ouest de l’Europe. Depuis 2004, dans Le Temps des Grenadines, dont le fil conducteur est l’enfance, il se penche sur des thèmes qui l’habitent : la mémoire, la mort et le temps qui passe.